Dernière mise à jour le 22 janvier 2023 par Esther Jules
Le 14 décembre 2019
Contenu
- Fin de représentation par les éditions AdA
- Nouveau projet!
- Retour d’expérience: Je publie un livre papier avec BoD
- Vacances en Autriche
- Salon des écrivains londais (83)
- Roman terminé!
- Salon du livre de La Crau (83)
- Dépôt légal de livres à la BNF: infos et tuto, sur Youtube
- Retour d’expérience: je publie mon livre numérique « Journées boulettes » avec BOD
Fin de représentation par les éditions AdA
Nous voici plus d’1 an après le décès de Jean-François, mon éditeur, qui avait cédé les droits de 2 de mes romans aux éditions Ada pour la diffusion papier sur la zone Amérique du Nord.
Durant cette période, toutes mes tentatives pour joindre mon éditeur nord-américain par contact mail avaient échoué. Lassée, je me suis finalement résolue à rechercher les noms des dirigeants de l’entreprise via Linkedin et leur ai envoyé un mail direct. Bien qu’un peu surpris, ils ont enfin répondu à quelques-unes de mes interrogations sur les contrats nous liant, et décidé de les rompre et de me rendre mes droits.
J’ai donc récupéré l’entière propriété des romans « Contrats, glaçons et coup de foudre » et « Barmaid et complications ». On peut encore les trouver sur certains sites en .ca, mais AdA m’assure qu’ils ne sont d’ores et déjà plus disponibles; les libraires ont jusqu’au 31/12 pour faire leurs retours.
En 2020, je republierai la version papier de Barmaid et complications, et j’assurerai moi-même la diffusion de ces deux romans sur la zone Amérique du Nord via les services d’Amazon.
Le 04 octobre 2019
Nouveau projet!
Allez, je vous parle de mon prochain projet!
Vous connaissez ce moment où ça fait clic dans le cerveau? Un peu comme un puzzle qui s’emboîte, ou un sudoku qui se résout. Tout est là, ça flotte quelque part dans la tête, et d’un coup bing! ça matche.
Ben c’était samedi dernier. Je rentrais tranquilou d’un balade en montagne, le sourire aux lèvres et le genou encore alerte, quand ça a fait clic et que je me suis dit: « Faut que j’écrive un livre ».
Ha ha, je suis drôle.
Si déjà je me fais rire moi-même, tout n’est pas perdu.
Donc le pitch
Ce ne sera pas un roman, mais un livre photos, mêlé d’anecdotes historiques, très anciennes ou plus récentes, toujours en lien avec le lieu. Je retracerai un village et une région que j’aime, au travers de l’image et de la vie des gens, pour colorer et rendre concret l’endroit.
Le prestataire
Je veux que ça aille vite. C’est une urgence sortie des tripes, tout ou presque est dans mon ordinateur, il me faut juste faire un gros travail de rangement et de structuration. Ce sera donc de l’autoédition, sans aucune hésitation.
J’ai d’abord pensé à Amazon, mais il ne propose pas le format et le papier recherché. Ce sera donc BoD, avec un format italien et un papier photo 200gr. Je table sur 100 pages, pour 25€ TTC, à préciser au cours de l’avancement du projet. Je dois par contre renoncer à la couverture rigide, qui augmenterait beaucoup trop le prix de fabrication.
Phases suivantes
– Lire, relire ou retrouver mes notes sur des articles et documents de fond
– Trier des milliers de photographies pour sélectionner mes préférées
– Interroger l’ancêtre, pour lui faire relater des souvenirs
– Faire un tour sur le site des Archives départementales sans y passer mes nuits parce que j’adore me plonger dans les vieux papiers
– Rédiger le texte sans que cela devienne barbant pour les non adeptes des faits historiques
– Mettre en page
Allez go, action, je suis chaude, là!!
Le 04 septembre 2019
Retour d’expérience: Je publie un livre papier avec BoD
Si j’ai choisi de passer par les prestations de BoD pour publier le livre papier « Mon carnet bonheur » c’est pour plusieurs raisons.
D’abord j’avais déjà travaillé avec eux. Si j’ai pu constater à l’époque (2014-2016) des lenteurs dans le processus de référencement auprès des librairies physiques, et une certaine difficulté à m’y retrouver question comptabilité en publiant plusieurs ouvrages en simultané (mais jamais aucune irrégularité), ainsi que des délais de livraison très variables, j’ai surtout apprécié chez eux une qualité du produit fini, c’est à dire du livre, tout à fait correcte, et je dois dire que c’est primordial, non? J’avais jusque là travaillé sur des intérieurs texte noir, papier beige, couvertures brillantes, dos collé. Je n’ai eu aucun souci sur la qualité avec les ouvrages reçus.Cette fois-ci, j’ai besoin d’avoir de la couleur (49 photos intérieures). C’est un service que BoD propose, ce qui n’est pas le cas de tous les prestataires d’impression à la demande, qui pour certains ne proposent en couleur que les couvertures.
La prestation
Comme d’habitude, aucun souci avec la maquette que j’envoie, et je choisis une couverture par défaut de BoD pour n’avoir aucun souci de centrage pour la tranche. [Petite astuce: comme les mises en pages par défaut des couvertures ne me conviennent pas forcément, je prends un modèle avec une photo « pleine page », que je remplace par ma première de couverture en.jpg toute prête. (Astuce qui marche aussi chez d’autres prestataires.)]
Pour ne pas charger en prix, je reste sur un papier simple, blanc.
Le coût de la prestation « BoD Classique » est faible (19€) pour un engagement de 12 mois.
Hop hop, j’envoie mes maquettes, et comme je suis déjà enregistrée (cf article Je publie en numérique chez BoD), je n’ai plus qu’à valider pour que la commande soit lancée.
Voilà, c’est fait, il n’y a plus qu’à attendre.
Le référencement
Petit souci, encore une fois, c’est le référencement. J’attends que le livre apparaisse comme « disponible » chez Amazon pour en parler sur les réseaux sociaux. Mais il apparaît tout d’abord comme « indisponible ». Interrogé, BoD me répond qu’il faut parfois passer une première commande pour que la machine Amazon se débloque. Comme de toute façon je veux mon exemplaire, je me lance.
Et là ouch… Le site indique « Rupture de stock, temporairement indisponible », ce qui est strictement impossible avec de l’impression à la demande. Pour ma part j’attends des semaines pour le recevoir. C’est la galère. Très peu de clients sont prêts à passer commande sur un site qui indique un délai de 3 semaines ou une rupture de stock.
Entre temps, une « coauteure » fait son apparition sur la fiche de mon livre. Euh, what??? C’est quoi ça? J’alerte BoD qui fait le nécessaire auprès d’Amazon… qui me met maintenant en « auteur secondaire ». Gloups. Realerte BoD, reintervention auprès d’Amazon. Cette fois-ci la pique-assiette n’est plus nommée comme auteure, mais est toujours reliée à la fiche du livre d’une manière ou d’une autre. Grrr.
Cet intermède « m’occupe » pendant que j’attends de recevoir mon exemplaire, ce qui finit par arriver.
La fabrication
La fabrication est comme précédemment de bonne qualité et correspond à la maquette. Il y a de petits soucis ponctuels de transparence sur certaines pages, qui sont dus à mon choix de papier: je ne pouvais pas prendre du papier photo – plus épais – car les clients n’auraient pas aisément pu écrire dessus (rappelons qu’il s’agit d’un agenda). Il y a également des photos intérieures qui ont un tramage visible, notamment dans les tons bleus.
Etant donné que le livre est entièrement en quadri, le coût à l’impression est assez élevé, et je suis contrainte de mettre l’ouvrage à 23€ en prix public, ce qui va forcément impacter négativement les ventes.
Comme pour le numérique, je regrette de ne pas voir quel est le vendeur tiers qui effectue la vente, mais j’ai une vue au jour le jour des commandes.
Entre temps j’ai également reçu mon premier virement de la part de BoD, en temps et en heure.
Mon appréciation? Je me déclare satisfaite.
Bien entendu le service n’est pas parfait, c’est pour le moins tout à fait perfectible en terme de rapidité et de disponibilité. Mais le service rendu pour 19€ est d’un bon rapport qualité prix.
Juillet 2019
Vacances en Autriche
La saison des vacances d’été est arrivée. Pour moi, cette année ce sont quelques jours dans le Tyrol qui ont été au programme: un interminable voyage en bus à travers l’Italie, le franchissement du col du Brenner, et hop! Tyrol nous voilà!
Au-delà des paysages magnifiques, des villes d’Innsbruck et Salzburg, des chutes de Krimml et de la vallée du Zillertal, ce fut aussi l’occasion de rencontrer des gens. Le gros inconvénient du type de voyage organisé choisi a été les relations aux autochtones, très limitées hormis avec le personnel de l’hôtel. Mais tant pis, j’avais un bus de Français à observer! Et en cinq jours passés ensemble, les personnalités commencent à se révéler. C’était jouissif. Une ola toute spéciale pour Tatie Danielle, qui a enchaîné avec un savoir-faire magistral les petites crasses entre amis derrière sa façade de vieille toute fragile. Chapeau bas. La grande classe. Je suis morte de rire pour les 10 ans à venir en repensant à elle. Ne dites jamais que mes personnages sont excessifs, les vrais sont encore mieux.
Pour ceux qui ont suivi mon Twitter, mes bonnes résolutions avant de partir étaient de parler aux gens. En bonne timide, c’était un vrai challenge. Partiellement réussi. Oui, j’ai parlé à différentes personnes. Mais pas autant que je l’aurais souhaité. Il y avait des gens vraiment sympathiques et intéressants, j’aurais bien creusé un peu plus.
En tout cas chouette voyage, j’embrasse les gens sympathiques, j’espère qu’ils se reconnaîtront (mais ce n’est pas certain à 100%, je n’ai pas vraiment sorti les drapeaux avec les petits cœurs pour le leur dire.)
Quelques photos ici: photographies.html
Et là:
Le 06 juillet 2019
Salon des écrivains londais (83)
Super chouette journée de dédicaces à la La Londe-les-Maures, d’autant plus que j’y allais en traînant les pieds. Mais si, vous savez, abandonner une prometteuse journée en famille du côté de mon hamac d’amour, pour ce genre de petit salon très très local, avec peu de visiteurs. Et en prime le risque des voir des mecs me lancer des regards entendus en lisant les titres de mes romans. Pff, fatigue. Bon, comme c’est chez moi ici, je trouve que c’est quand même plus sympa de se la jouer corporate.
La bonne nouvelle, c’est que ce salon, qui se tient tous les deux ans, a été pour sa cinquième édition délocalisé au Jardin des oliviers. What !? Vous ne connaissez pas le Jardin des oliviers ? C’est sûrement pour ça que vous n’êtes pas venus 😉 Jusqu’à présent, le salon se tenait sur le parvis de la mairie, au marbre dur, qui donnait tout ce qu’il avait pour renvoyer sa réverbération. Et en juillet dans le Var, je vous promets que la réverbération, on s’en passe bien.
Sous une tente
Nous voici donc dans un très beau jardin public, certes un peu excentré par rapport aux grandes artères de la ville. Le manque de publicité autour de l’événement, ainsi que son manque de renommée, ne vont pas vous aider. Mais au moins avons-nous là de beaux arbres et de belles pelouses, il est toujours bien agréable d’être dans un cadre sympathique. Cette année, l’association Lou Suve, qui organise le salon, merci à elle, a aussi décidé de voir plus grand, et a invité une fanfare, lancé un concours de nouvelles, et un atelier d’écriture. Sympa.
Installée sous une toile de tente blanche, entre Georges Terlon, auteur du terroir, et Éric Cramaregeas, auteur pompier, j’étais fort bien entourée. George, je le connais depuis le jour de ma naissance, et Éric, quand on l’a rencontré une fois, on ne peut pas ne pas le connaître. C’est le pompier le plus bavard de tout le département. Il est en mode « on » en continu. Avec son uniforme, il a magnétisé toutes les femmes dans un rayon de 20 m, et avec sa tchatche, ses bons mots, et ses bénéfices reversés aux orphelins des pompiers, il attirait les lectrices comme ver luisant une nuit d’été. Il m’a amusée toute la matinée, et est reparti avec un « Contrat, glaçons un coup de foudre » dans son casque. Je lui souhaite bonne lecture.
Des lecteurs
En cette belle et chaude journée d’été, j’ai croisé plein de lecteurs sympas, dont des gens que je n’avais pas revus depuis un certain nombre d’années. Et j’ai été ravie de bavarder avec eux. Côté archétypique de salons de livres, j’ai évidemment eu droit à la collectionneuse de marque-pages, celle qui fait le tour de tous les stands pour en rapiner aux auteurs, sans jamais rien acheter à personne.
J’ai aussi eu la vieille qui a fait un bond en arrière quand j’ai voulu lui laisser ma carte de visite après qu’elle ait lu toutes mes quatrièmes de couverture (oui toutes, intégralement). Alors ma brave dame, un flyer ou une carte de visite, ça ne mord pas. En général on empoche poliment, avant de le jeter en rentrant chez soi si on n’est pas intéressé. Le bond en arrière, c’est une première. Je suis morte de rire, j’ai l’image gravée dans ma rétine et je peux la revoir en boucle si j’ai envie de rire un coup.
Une lectrice
J’ai aussi eu la dame qui m’a demandé : « C’est vous qui les avez écrits ? » J’ai hoché la tête comme un de ces chiens qu’on trouvait sur les plages arrière des voitures quand j’étais petite. (Désolée les jeunes, vous ne pouvez pas comprendre). Et j’ai souri largement. Parce que si je lui avais dit : « Oh ben non poulette, je passe huit heures non-stop sous le cagnard à plus de 30° à l’ombre, debout derrière mon stand, à grignoter un paquet de chips pour tout repas de midi, juste pour le fun, parce que je n’avais pas envie d’aller à la plage aujourd’hui. Non, moi ce qui me faisait kiffer pour ma journée, c’est de dégouliner sous une tente en expliquant aux personnes qui le demandent où sont les toilettes. » Comme je suppose qu’elle aurait moyennement apprécié, j’ai préféré sourire.
En vrai, j’adore regarder les gens, les voir bouger, agir, se comporter, et même les questions ou les attitudes qui me font hausser les yeux au ciel, sont pour moi une forme d’enrichissement. Les gens qui lisent des livres sont des gens intéressants, non ? Merci les gens.
Donc une chaude journée, merci aux amours qui m’ont acheté des livres. Grâce au dieu de la flemme, ce salon a certainement été mon dernier de l’année, à moins que je ne sois piquée du démon de la folie, ce qui n’est jamais exclu me concernant.
Le 26 juin 2019
Roman terminé!
Tadaaa! J’ai terminé l’écriture d’un nouveau roman!
Super chouette, danse de joie….
Oui mais en fait non.
Oui mille fois oui, parce que ça y est, l’histoire est sortie de bout en bout, les personnages sont là, bien vivants, les scènes gravées dans le disque dur.
Mais non parce que beuarrrrrr… la partie pénible commence, j’ai nommé la réécriture. Et vraiment je n’aime pas ça. Pourtant, il y a un sacré travail, entre le texte brut vomi de mes entrailles et un roman présentable. Mais qu’est-ce que je déteste cette partie purement rédactionnelle! Je n’ai plus besoin d’inventer, de faire appel à mon imagination, de relier tous les petits fils qui traînent ici et là dans le roman. Non, c’est du tout cuit. Mais c’est d’un ennuyeux. Aussi soporifique que la traque de la fôte. Je vais lire et relire le texte à ne l’en plus voir, à tel point qu’il va me sortir des yeux.
En attendant d’avoir passé cette étape purgatoire, je vous dévoile juste qu’il s’agit d’une comédie romantique, et qu’elle se passe en Écosse.
😉
[édit: en savoir plus sur le roman Juniper et le duc des champs]
Le 12 mai 2019
Salon du livre de La Crau (83)
Un salon bien organisé, avec de grandes tables, et de super voisins d’exposition 🙂
Le 23 février 2019
Dépôt légal de livres à la BNF: infos et tuto, sur Youtube
J’avais envie de faire un petit point, essentiellement à destination des auteurs qui s’interrogent sur le dépôt légal des livres en France.
J’ai donc opté pour 4 minutes de vidéo, que vous pouvez voir sur YouTube [edit: video non disponible]
Thématiques principales : Le dépôt légal, qu’est-ce que c’est ? À quoi cela sert-il ? Comment se passe le dépôt ? Est-ce une démarche de l’éditeur ? Si je suis autopublié ? Et pour les livres numériques ?
Le 09 janvier 2019
Retour d’expérience: je publie mon livre numérique « Journées boulettes » avec BOD
A la recherche d’un prestataire pour procéder à la publication numérique de « Journées boulettes », j’avais dans un premier temps laissé tomber l’idée de publier un ebook avec BOD.
La version epub
Je souhaitais en effet envoyer mon propre fichier. Le service client, interrogé sur la question, me répondait que c’était impossible, qu’il fallait impérativement passer par leur outil de création. Comme je préfère dans certains cas procéder à mon propre codage, j’avais renoncé.
Eh bien en fait non! Mauvaise compréhension de ma question ou manque de compétence du service client? En tout les cas il suffisait d’essayer pour s’en rendre compte, il y a un bouton « télécharger » qui permet d’importer son propre fichier epub.
Cet impératif étant pour moi validé, j’ai poursuivi mon objectif, celui de ne pas me farcir la mise en vente boutique par boutique. Je cherchais un service qui fasse tout pour moi.
L’offre BoD
Je me suis laissé tenter par l’offre de publication BoD ebook à 0€. On peut dire que ce n’est pas cher.
Pour ce prix-là, BoD me propose de mettre en ligne mon epub, vendu chez divers partenaires plus ou moins indéfinis (à ma demande, on me répond que la liste change souvent), mais avec tout de même les grands du secteur. Après vérification, je le trouve en vente chez Amazon, Kobo, iTunes, GooglePlay, Furet du nord, Chapitre, Cultura.
(Mais pas Fnac, pas Bookeen, pas Decitre, pas Espace culturel Leclerc). A chacun de voir si ces revendeurs suffisent.
Il n’y a pas de durée de contrat, ce qui est génial, je peux arrêter quand je veux.
Chez BoD ils permettent la précommande, ce qui est chouette. Mais il faut savoir que tous les vendeurs ne pratiquent pas cette option. Dans mon cas, je n’ai trouvé mon livre précommandable que chez Amazon. BoD au aussi une option de prix différent durant la période de précommande. Re-chouette.
Pour les tarifs affichés par BoD, c’est par ici :https://www.bod.fr/auteurs/publier-mon-livre/produits-et-tarifs.html
La mise en ligne
Pour mettre en vente son livre, on est obligé de saisir son iban, même si c’est pour souscrire à une offre gratuite; tout se passe par virements chez eux, que ce soit en débit ou en crédit.
Ils annoncent 70% des « recettes nettes issues de l’exploitation du titre ». Calcul par trimestre, paiement à 30 jours au-delà de 25€.
Je fais clic clic clic, et voilà mon livre en préco avec, me prévient-on, quelques jours de latence pour le référencement chez les uns et les autres.
Mon bilan pour l’instant: pour super pas cher et peu de manipulations, mes nouvelles sont en vente dans 7 boutiques, et plus si affinités, et j’ai un interlocuteur unique en cas de souci. J’ai la possibilité de changer le résumé et les mots-clés. Par contre pour modifier le fichier ou changer le prix, il faut republier. Mais à 0€ sans engagement, on ne va pas en faire une histoire.
Le plus gros bémol avec ce prestataire, à mon sens, c’est qu’il ne permet pas de voir dans quelle enseigne ont été acheté les ouvrages, ce qui est pénible, non seulement pour faire des statistiques, mais surtout pour pousser en même temps sur les réseaux sociaux les revendeurs qui marchent.