Actualités 2018 – Esther JULES

Dernière mise à jour le 21 janvier 2023 par Esther Jules

Le 23 décembre 2018

Interview chez Gilles Milo-Vacéri

Un beau matin, Gilles Milo-Vacéri s’est dit : et si au lieu de me faire interviewer, je retournais la vapeur et posais des questions à mes lecteurs ?
Et le voilà donc lancé dans 23 portraits, dont le mien.
Curieux de lire ses questions et mes réponses?

Gilles Milo-Vacéri 2012

« 1/ Pour planter le décor, merci de vous présenter.
Coucou Gilles, dis donc, tu ne crois pas que tu abuses dès la première question ? Déjà que c’est tout un roman ton questionnaire, en plus, tu bastonnes d’entrée. Tu ne veux pas mon scan dentaire et mon numéro de sécu ? Si ?
J’ai l’âge de mes artères ou celui que tu vois sur ma photo. Je nourris ma famille en tant que chef de projet fonctionnel informatique, mais sinon je suis auteure. J’ai mis au monde un rejeton de type masculin qui a hérité de l’humour corrosif de son père. L’adolescence nous promet des échanges verbaux joyeux. Super casanière à tendance asociale, j’adore passer mes week-ends chez moi. Les humains, je les vois assez en semaine et faut pas trop pousser mes limites quand je suis en mode hamac. Sinon j’aime bien les animaux, ils disent moins de conneries. Voilà, satisfait Monsieur Curieux ?

2/ Quel style de lecteur êtes-vous ?

Pour voir l’intégralité de cette édifiante interview, c’est sur le site de Gilles Milo-Vacéri


Le 05 décembre 2018

Point 2018

Allez, un petit point sur l’année écoulée et pas tout à fait terminée.
Je ne parlerai pas de bilan, puisque le terme ne me semble pas correspondre à l’exercice, mais d’un point sur les actions passées, et le tracé de la feuille de route 2019.

Ah, les contrats d’édition…

2018 fut une année mouvementée, précisément débutée fin décembre 2017, lorsque mon éditeur me téléphonait pour m’informer de soucis personnels impactant directement son entreprise. Il avait par conséquent décidé de se restructurer et de réduire la voilure. Il proposait à tous les auteurs de sa maison d’édition le souhaitant, de les dégager de leur contrat.
A l’époque, il ne me semblait pas correct de quitter le bateau en difficulté, j’ai donc préféré rester.
Mais durant les premiers mois de 2018, il est devenu évident, au vu de différents signes que je ne détaillerai pas ici, que la barque partait vers les rapides.
Je ne suis pas casse-cou à ce point. A la fin du printemps, j’ai donc recontacté mon éditeur, pour mettre fin à notre collaboration. Il proposa une date: le 31 juillet 2018.
Et ainsi fut fait. Au mois daoût, il me confirma – brièvement car en arrêt maladie longue durée – qu’il avait fait le nécessaire pour que mes 3 titres ne soient plus disponibles à la vente.
En septembre nous commençâmes à parler droits d’auteur. En octobre il mourut.
Repose en paix Jean-François, entre une bonne bouteille et un plat en sauce, loin des médisants et poncifs que tu exécrais.

Bon, mais quid de l’entreprise de feu mon éditeur? Qu’advint-il?
Rien. Nada. Petzouille. Et plus personne à la barre de cette entreprise unipersonnelle.

Me voilà maintenant en décembre, et le fils unique et héritier ni ne reprend la maison d’édition, ni ne la ferme. (La maison, hein. Parce que la bouche, il ne l’ouvre pas. Aucune communication n’a été faite aux auteurs). La barque est maintenant seule au milieu des récifs.
Pour ma part me voilà avec 12 mois de droits d’auteur impayés, mais je m’en sors plutôt bien par rapport à mes collègues auteurs dont les livres continuent à être vendus sur les plateformes sans que personne ne sache jusqu’à quand, ni où ira l’argent.

Mon plus gros souci à l’heure actuelle se situe au Canada, puisque 2 de mes romans ont été revendus à un éditeur de la belle province. Outre que je n’ai jamais vu l’ombre d’un Kopeck de cette transaction, je n’ai pas non plus de copie du contrat. Le problème immédiat? Je ne peux pas republier hors France en version papier mes 2 titres tant que je ne connais pas la zone géographique dédiée aux canadiens. Je ne sais pas non plus jusqu’à quand court le contrat en question. J’ai envoyé des mails aux canadiens, qui font les morts. Sympa comme manière de traiter un auteur publié dans son catalogue. Je dis ça je dis rien.

Donc voilà voilà. Sortez les kleenex. J’ai vendu des livres, et je ne verrai pas la couleur de mon argent. (Oui, je réclame de l’argent en échange de mon travail. Sinon je mettrais mes textes sur des plateformes gratuites.) C’est presque du piratage. La différence étant que les acheteurs sont honnêtes.

Action, réaction

Courant 2018, j’ai procédé petit à petit à une salve de publications, en auteur indépendant. (L’absence de E à un certain substantif est tout à fait volontaire, mais c’est un tout autre débat. Je ne suis pas sectaire, il m’arrive de le mettre, quand cela me fait plaisir à l’oreille. De votre côté merci de tolérer les choix de chacun.)
Pour mes divers titres, j’ai opté pour plusieurs prestataires, selon les options proposées, le coût, la redoutable durée d’engagement, les intermédiaires qu’ils utilisent.
Ainsi début octobre 2018 j’ai republié Barmaid et complications par le biais d’Iggybook, en version numérique exclusivement.

Fin novembre ce fut le tour de Pomme, Lovely soeurs Lambert livre 1 (anciennement Talons hauts et taches de rousseurs), par le même biais. Et le 14 décembre suivra le livre 2, inédit.
En octobre j’ai également publié Journées boulettes, 3 nouvelles en version numérique, mais cette fois-ci au travers des services de BoD.
Mon carnet bonheur, un inédit aussi, toujours chez BoD, est paru mi-octobre, mais exclusivement en version papier et couleur.

Tout ceci demande bien évidemment beaucoup de temps si on veut faire les choses au mieux: comparaison et choix des prestataires, corrections orthographiques, choix de mise en page, maquettes papier et numérique, sélection des visuels, maquettes des couvertures… C’est le prix à payer pour être indépendante. Mais au moins, si je merde une sortie, je ne suis pas tentée de me dire que c’est parce qu’un autre aurait hypothétiquement mal fait le boulot.

En 2019 sur ma to-do ?

– Résoudre la question canadienne.
– Obtenir des réponses sur mes droits d’auteur suite au décès expliqué plus haut. Même si c’est pour m’entendre dire que je ne toucherai rien, je le veux par écrit, pour faire mon Calimero tout à mon aise.
– Republier Contrats glaçons et coup de foudre, dont j’ai commencé un retoilettage.
– Publier le tome 1 d’une romance fantastique.
– Publier le tome 2 des Aventures fantastiques de Tom et Max, peut-être au travers d’un crowdfunding pour pouvoir financer les illustrations.

Et sinon?

Après les principaux projets, j’ai toujours en cours l’écriture d’un tas de trucs dont j’ignore l’ordre dans lequel ils seront terminés: le T3 des Aventures fantastiques, un documentaire sur la viticulture en région rhénane, le T2 de la romance fantastique, une polaro-chick-lit, un récit de voyage… et je crois que c’est tout, le reste ne compte pas, c’est trop peu avancé. Mais vu le nombre d’idées que j’ai chaque jour (d’idées con précise mon bel époux, impacté en continu par les dites idées), il n’est pas exclu qu’un projet inattendu pointe subrepticement le bout de son nez. Ce sera selon l’humeur.


Le 11 octobre 2018

Retour d’expérience : publier son epub avec Iggybook

À la recherche d’un type d’autopublication pour mon roman « Barmaid et complications », qui a déjà connu de premières vies par ailleurs, en avril dernier, je renonçais à publier par le biais d’Iggybook à cause de leur mode de paiement : Paypal. N’ayant pas de compte, cela compliquait mes démarches.
De plus, le coût d’entrée de 49 € me faisait hésiter.
Vous allez peut-être penser que la somme n’est pas exorbitante, ce que je vous concède bien volontiers, surtout quand on compare à d’autres prestataires. Mais je sais d’expérience que lorsqu’un livre ne se vend pas ou peu, on ne touche que de temps en temps quelques dizaines de centimes. Alors rentrer dans ses frais pour 49 €, ça peut être long 😉
 
Par contre, Iggybook offre des avantages qui font pencher la balance. Le premier, c’est la possibilité d’être présent sur de nombreuses plateformes. Plutôt que d’avoir des comptes un peu partout et de se farcir la publication vendeur par vendeur, c’est l’intermédiaire de distribution d’Iggybook, Numilog, qui fait le travail. Je n’ai encore jamais travaillé avec Numilog, ce sera donc une découverte.
J’optimise volontiers mon temps, et avoir quelqu’un qui fait le boulot pour moi pour 49 €, il me semble que la prestation vaut bien cela.
 
Ensuite je peux envoyer mon fichier epub tout prêt, sans passer par un convertisseur de document texte qui va faire selon ses envies avec ma mise en page. Comme je préfère construire mon epub en partant de rien, avec Sigil, c’est bon pour moi.
 
On peut aussi choisir les librairies où l’on souhaite voir son livre en vente par simple cocher/décocher. Cela peut être utile si on veut par exemple conserver un canal en direct.
On peut vendre soi-même ses livres, et conserver à ce moment-là environ 95 % des revenus. Honnêtement, d’expérience je ne crois pas que cela fonctionne, l’utilisateur habitué à sa librairie (Amazon ou iTunes par exemple) passera par son canal habituel, sans s’embêter à aller acheter sur le site de l’auteur. Mais pourquoi pas, l’intention est louable, et je laisse sa chance au produit.
 
On peut proposer son ouvrage en précommande, ce qui est bien. Mais toutes les plateformes ne répercutent pas cette option.
Le bémol : il n’est pas prévu de programmer un prix de lancement réduit pendant la période de précommande.
Mais il semblerait qu’on puisse mettre en place un code promo, sans que j’ai vu d’explication sur la façon dont cela fonctionne. À creuser.
Il y a aussi un onglet Service de presse dont je ne sais non plus comment il fonctionne.
Sans doute ce manque d’information autour des services additionnels proposés est-il à mettre dans la case des « moins » d’Iggybook.
 
On peut avoir son propre ISBN si on le souhaite.
Et on a accès à un suivi des ventes par livre et par librairie ; on peut modifier ses données, et il n’y a pas d’exclusivité, ce qui est un point intéressant.
 
Donc bref bref bref, je me décide à créer mon compte PayPal – ce qui fut peut-être le plus long dans cette histoire – et je me lance.
Ok, j’avoue, j’ai subi un bug majeur au moment du paiement. Mais cela a fini par être résolu. Je vous conseille donc de ne pas surfer avec autre chose (genre Vivaldi) qu’un navigateur ultra classique quand vous effectuez le paiement. Au deuxième essai via Chrome, c’est passé comme une lettre à la poste, enfantin.
 
Ensuite tout est ultra simple, et roule ma poule le livre est en vente, après le petit délai de rigueur pour que le distributeur fasse son boulot.
 
Comme Iggybook propose aussi un site d’auteur (que l’on ait d’ailleurs des livres en vente par leur biais ou non), j’ai pu mettre mon livre en avant sur cette page https://esther-jules.iggybook.com/fr/ ce qui au minimum fait du bien dans le référencement. [edit: cette page n’est plus disponible]
 
Le suivi des ventes au jour le jour est très bien fait, on peut classer par livre, par vendeur, par jour.

Statistiques ventilées de ventes par librairies numériques


Ce que j’attends de cet intermédiaire, à savoir mettre en vente mon livre sur les différentes plateformes sans m’imposer des contraintes démesurées et en me donnant accès à un tableau de bord, est réalisé.
Donc satisfaite.

Mise à jour 2019: mais tout n’est pas aussi simple.
– J’ai dû réclamer pour toucher mes droits, calculs à l’appui, ce qui me semble extraordinaire pour un site qui gère plusieurs milliers d’auteurs. Tout devrait être automatisé et rouler tout seul.
– J’ai découvert qu’Iggybook émet une facture « au nom et pour le compte de l’auteur » pour lui verser ses redevances. Euh (?) Corrigez-moi mais il me semble qu’un particulier n’a pas le droit d’établir une facture s’il n’a pas créé d’entreprise.
– J’ai connu de nombreuses turbulences pour qu’Iggybook arrive à supprimer mes livres de toutes les plateformes: « Décocher les cases ne suffit pas à supprimer votre vente, il faut aussi nous contacter. » Ah ben, à quoi elles servent alors les cases à cocher?
Donc pour l’instant, je ne vends plus par l’intermédiaire d’Iggybook, l’expérience client m’a achevée, nos échanges de mails bien trop nombreux pour résoudre les soucis, mes nerfs étaient en PLS. Pourtant et malgré tout, appelez mon psy pour qu’il me déprogramme, j’aime bien cette boîte. C’est une super structure avec un très bon potentiel, mes des failles dans les workflow. Qu’ils nomment un chef de projet, fassent un audit, revoient leurs procédures, ajustent leurs paramétrages, revoient aussi leur ergonomie en backend, que sais-je d’autre, à eux de s’y mettre. Je croise les doigts pour eux et leur souhaite bon courage.


Le 03 octobre 2018

Idée con du jour: envoyer un manuscrit

Aujourd’hui, en voyant passer sur mon fil les jolis tweets graphiquement bien sympas d’une maison d’édition que je follow depuis quelque temps, j’ai soudain eu cette idée de génie: et si je leur envoyais un manuscrit?

Leur ligne éditoriale a l’air sympa, les couvertures sont chouettes, ils existent depuis quoi, environ 2 ans? et semblent survivre, ils ont l’air dynamiques. Je n’ai rien contre les petites structures du moment que le travail est bien fait. Je vérifie que les soumissions de manuscrits sont ouvertes dans ma catégorie. Ok, tout baigne.

Et puis… je creuse un peu. Le joli parcours pro de l’éditrice affiché, c’est ok, mais je vais faire un tour sur le RCS (Registre des commerces et sociétés). Et là, bing! L’entreprise est radiée depuis 2017. Euh… ? Elle a changé de nom peut-être? (oui, je suis une fille optimiste, qui accorde volontiers sa confiance et le bénéfice du doute. Baffez-moi.) Je cherche avec le nom de l’éditrice, rien de plus que l’entreprise fermée. Le site web, lui, affiche fièrement « maison d’édition immatriculée sous le n°xxxxxx ». Je vérifie le numéro en question…. qui renvoie à un autre éditeur. Et pas des mieux côtés! Si vous connaissez un peu le milieu, vous aurez certainement un avis très définitif sur cette boîte à compte d’auteur.

Alors que dire. Soit le doigt du webmaster a ripé en tapant la séquence (oui, vous savez, le fameux bénéfice du doute, baffez-moi), soit on se moque de quelqu’un. Quelle que soit la réponse, je ne soumettrait pas de manuscrit à cette maison. Les gens qui sont dans l’approximation ou le manque de rigueur me fatiguent. Quand ça commence comme ça, on peut être certain qu’il va y avoir de nombreux couacs de-ci de-là, sans parler du fait que je ne connais même pas les conditions de leur contrat type. Fatiguée par les guignols. Ce roman ira en autoédition, comme les autres. Longue vie à lui!


Le 03 octobre 2018

Décès de Jean-François GAYRARD

Décès de Jean-François Gayrard

Le 15 août 2018

Les vacances, c’était bien!

Eh oui, les vacances d’été sont terminées pour moi, et qu’est-ce que c’était bien!
Au bilan, 2 heures de sommeil quotidien en plus, pendant 3 semaines, ça fait un bien fou. Le cerveau, libéré des contraintes du quotidien, a pu faire sa pause ronronnante. Pas de stress lié au boulot, aux relations interpersonnelles professionnelles, à la maison à faire tourner; les petits tracas tout bêtes mais chronophages comme l’inscription à la cantine, le justificatif de domicile à fournir à l’administration machin, remplir le réservoir d’essence pour faire les kilomètres pour aller au boulot, tout faire vite parce que l’heure tourne… envolés! A moi la liberté.
Hamac mon amour, me voici 😀

C’est avec un plaisir infini que j’ai enchaîné les jours sans contrainte, dirigée par l’humeur du moment. Il y a eu de nombreux moments de lecture, des balades, quelques fleurs amoureusement plantées ou taillées, quelques bricolages à la truelle tout aussi amoureuse, et du rien, infiniment beaucoup de rien.
Les animaux étaient de la partie, bien décidés à passer eux aussi de bonnes vacances. D’ailleurs ils n’ont pas rechigné à me tenir compagnie près de mon hamac.
Avec Zeph, nous avons aussi travaillé sur les Enquêtes fantastiques de Tom et Max, volume 3, et réfléchi à une autre série, allongés dans les prés, l’herbe nous chatouillant sous le coude tout en écrivant.
J’espère que vous aussi avez passé un bel été!


Le 01 août 2018

Changements éditoriaux

Fin de publication NL

Le 23 juillet 2018

Dédicace à la fête du livre jeunesse « Lire sur le Sable – Partir en livre » au Pradet (83)

C’est dans le superbe Parc Cravero que nous avons passé notre journée du lundi, à l’ombre des grands arbres.
Un grand merci à tous ceux qui sont venus nous voir, avec un clin d’oeil particulier pour Antonio, Eléna, Jean, Léna et Raphaëlle 😉


Le 19 juillet 2018

Dédicace à Giens (83)

Pour cette nocturne à partir de 17h, dans l’ancienne école de Giens, nous avons retrouvé nos amis auteurs de l’association Plume d’azur.
Le cadre était splendide, avec une vue sur le tombolo de la presqu’île à laquelle mes photos ne rendent pas hommage, et un pin majestueux pour nous ombrager pendant que nous nous empiffrions des délicieuses pizzas offertes par l’association.
Même si la foule n’était pas tout à fait au rendez-vous (blague pour insiders), j’ai eu plaisir à bavarder avec deux jeunes* auteures, Cyrielle Cohen et Amandine Mollo, que j’aurai d’ailleurs plaisir à retrouver dans quelques jours lors de la dédicace au Pradet.

*Notez qu’en ce moment « jeune » = moins de 40 ans pour moi; cette notion a ceci de particulier que sa forme polymorphe est évolutive avec l’âge du locuteur et non avec celui de la personne décrite, ce qui est pour le moins paradoxal. Fin de digression fantasque.


Le 08 mai 2018

Dédicace à Solliès-Pont (83)

Sur le parvis devant la mairie de Solliès-Pont, près du parc du château, la journée de dédicace était placée sous le signe d’un très bel environnement.
Merci à tous ceux qui sont venus, une mention spéciale à Magali avec laquelle j’ai pu bavarder plus longuement 🙂


Le 05 avril 2018

Autoéditer son ebook: Tests BoD, Iggybook, Immatériel

Pour autopublier mes nouvelles « Oh! 3 contes! Cendrillon, cochons et chaperon » j’ai choisi de m’adresser à BoD, qui cumule les avantages de proposer une offre gratuite pour une publication exclusivement numérique et une distribution chez de nombreux acteurs du secteur.
J’ai créé mon espace, rempli les champs de présentation de l’ouvrage, saisi le résumé et les mots clés… et suis arrivée à la partie texte à télécharger.
Je dois dire que je préfère coder mes epubs moi-même. J’utilise pour cela Sigil, et tape mon code et mes CSS (feuilles de style) avec mes petites menottes (mais sans le fouet). Ainsi je sais quel est mon rendu, et que mon code est propre – du moins je l’espère.
Avec BoD, un outil intégré à destination des non techniciens (EasyEditor) permet de mettre en page son texte pour créer son ebook. En parallèle, un outil de téléchargement offre la possibilité d’importer son epub. OK j’importe.
Et là, grave mauvaise surprise. Toutes mes CSS ont sauté. Toute ma mise en forme est à refaire. L’outil recrée une table des matières, alors que mon epub en comportait déjà une. Pire, il faut entièrement la remettre dans le bon ordre: tous les titre 1 sont à la suite, puis les 2 puis les 3; alors que bien évidemment dans un livre on a des titres de taille 1 puis 2 puis 3, et à nouveau 1 puis 2 puis 3… bref, le gros bazar. J’ai perdu ma police de caractères, mes jolies lettrines pouf, évaporées, sans parler de mes images/séparateurs en jpg.
Contacté, BoD me confirme qu’on ne peut contourner EasyEditor.
Snif. Je jette l’éponge.
Malgré ce retour négatif, je ne vous encourage pas, vous, à jeter le bébé avec l’eau du bain. Peut-être le résultat est-il acceptable si on n’est pas un maniaque du code.

Oh! 3 contes!

Épisode 2: Pas prête à baisser les bras, je me rends sur Iggybook. Là, c’est plus cher, 49€. Mais la distribution a l’air large, à vue de nez je dirais qu’ils passent par Immatériel, que j’adore. Donc je m’inscris, et direct: boum! Compte Paypal obligatoire.
Je n’en ai pas, et sur l’instant pas envie d’en créer un.
Snif. Donc next.
Idem, ne jetez pas le bébé toussa toussa.

Je fais un tour chez Immatériel, parce que je les adore, et juste pour vérifier. C’est confirmé, ils ne prennent que les entreprises. Étant un particulier, je suis out. Mais j’en profite quand même pour dire ici un bon mot sur eux, avec qui j’ai eu le plaisir de travailler jadis, dans une autre vie: diffusion très large, paiements rubis sur ongle, back admin clair, tableaux et statistiques exploitables. Cerise sur le gâteau pour moi: pour s’inscrire, ils demandent un epub spécimen. J’adore.
Bon, et après tout ça, qu’en est-il pour moi et mes contes? Eh bien il semblerait que je doive me taper les inscriptions une à une chez les différents vendeurs. Force et courage! 😉


Le 03 avril 2018

Un week-end pascal studieux 😎😎😎

Un petit week-end prolongé? Chouette! Avec Zeph JULES nous en avons profité pour nous mettre au vert et bosser sur les Aventures fantastiques de Tom et Max.

Question couleur ambiante, ce fut plutôt du blanc surprise pour le premier jour! Tant mieux, le chien s’est bien éclaté, et nous aussi.

Pour Tom et Max, nous avons écrit un chapitre, mais aussi battu la campagne à la recherche de lieux emblématiques à faire apparaître dans notre tome 3, et ce fut réussi. Nous tenons notre cabanon, je vous en dévoile quelques photos.


Le 18 mars 2018

Dédicace à la journée des écrivains de Provence à Trets (13)

En raison d’un délai inhabituellement long de livraison, mes ouvrages ne sont malheureusement pas arrivés auprès de la libraire organisatrice de l’événement. 😪
Cette dédicace de Trets est donc annulée.
Faisons contre mauvaise fortune bon cœur. En espérant vous croiser sur un autre salon !

Dédicace à Trets

Le 24 janvier 2018

En interview chez The Funny World of Lumina

Retrouvez mes incroyables réponses aux questions de Lumina sur https://luminaworldsite.wordpress.com/2018/01/24/interview-dauteur-e-s-esther-jules/
Pour la question 9, comme j’ai répondu à ce questionnaire il y a plusieurs mois déjà, les lignes ont un peu bougé entre temps :p

Blog The funny world of Lumina

Le 06 janvier 2018

Dédicace Au quartier latin à La Garde (83)

Le 06 janvier, j’étais à la librairie Au quartier latin à La Garde (83) (Centre commercial Grand Var Est).
J’y ai dédicacé Talons hauts et taches de rousseur. Merci à ceux qui sont venus, pour la dédicace de votre exemplaire ou pour bavarder 🙂


Jusqu’au 15 janvier 2018

Livraison gratuite jusqu’au 15 janvier 2018

En achetant mes romans en version papier, les Editions NL vous offrent la livraison gratuite, en passant par leur site et en activant le code promo FREE2017. Trop bien! ♥
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Livraison gratuite, éditions NL

01 janvier 2018

Bonne année 2018

Plein de bonnes choses et de bonnes lectures à tous 😁 ❤️

Bonne année 2018

Bonne année 2018