Actualités 2016 – Esther JULES

Dernière mise à jour le 22 janvier 2023 par Esther Jules

10 décembre 2016

Hohé du bateau! Y’a quelqu’un?

Si vous vous demandez ce que je deviens, eh bien je prépare avec ardeur mes futures vacances de fin d’année (déplacement de meubles et affûtage de rouleau de peinture), et même si les températures du jour sont très clémentes, je profite de la cheminée en bonne compagnie, car la douce chaleur attire du monde. 😀❤️


21 octobre 2016

Changement d’éditeur

Après la fermeture des éditions Nelson District, mes deux romans ont été repris par les éditions NL 🙂
Un petit lifting des titres et de chouettes couvertures coordonnées pour commencer cette nouvelle aventure!

Passage chez les éditions NL

06 octobre 2016

Troll inside

troll inside

01 octobre 2016

J’ai fait un saut au festival New Romance

J’ai fait un saut en quasi voisine au festival New Romance qui a lieu ce week-end à Bandol, et j’y ai passé un bon moment 🙂

Geneva Lee, festival New romance 2016, Bandol

Les plus:
– Une localisation extra, juste à côté du Casino (celui dans lequel on peut jouer des sous. Mais si vous pensiez à la supérette, il y en a une aussi 😉 ), en bord de mer et de port, le long d’une looooongue rue de boutiques. Ultra romantique, un vrai piège à filles.
– Un nombre incroyable de célébrités de la new romance, venues tout droit d’outre Atlantique ou d’ailleurs.
– Un speed-editing informel, pour rencontrer en direct des éditrices de chez Hugo.
– Les goodies à l’entrée, ça fait toujours plaisir.

K. Bromberg, festival New romance 2016, Bandol

Les moyens:
– C’est pas gratuit pour les enfants. Franchement, si on se coltine son 9 ans à ce genre d’événement dont il n’a que fiche et où rien n’est prévu pour lui, c’est qu’on n’a pas pu faire autrement. Ajouter 5 euros pour qu’il puisse entrer, bof.

Colleen Hoover, festival New romance 2016, Bandol

Les moins:
– Il faut payer le pass festival 3 jours à 39€ pour avoir accès aux Masterclass (les conférences en français). Je dois être trop habituée aux Imaginales et à ses innombrables conférences gratuites.
– La salle des Masterclass était trop petite, du coup je ne me suis faite refouler. lol

Karina halle, festival New romance 2016, Bandol

Les je ne sais pas qu’en penser:
– Les beaux mecs torse nus en Calvin Klein aux entrées ^^

Ma conclusion: super! J’espère qu’ils vont recommencer, mais cela doit représenter un énorme travail de préparation. J’imagine que si cet événement est renouvelé, avec quelques petits ajustements, il n’en sera que meilleur 🙂

Christina Lauren, festival New romance 2016, Bandol

19 septembre 2016

Cupcake aux noisettes

Et si on parlait nourriture pour changer? ^^
Le cupcake aux noisettes, je m’y suis en quelque sorte lancée suite à cette photo postée sur Twitter.

Noisettes vertes sur leur arbre

Puis fin août, le moment étant venu, les noisettes se sont détachées et sont tombées.
Encore un peu vertes, j’ai pris le temps de les laisser sécher jusqu’à ce qu’elles aient une jolie couleur marron, avant de me lancer dans une recette pour ne pas garder la ligne.

Noisettes mûres

J’ai fureté sur le net, avant de trouver sur le site de Elle une mixture de cupcakes alléchante et suffisamment facile pour moi. Qu’on se le dise, je ne suis pas la reine de la cuillère en bois et du moule à gâteau. http://www.elle.fr/…/…/Gateaux-moelleux-aux-noisettes-837805
Le challenge a été de réunir les 125 gr de noisettes demandés, parce que ce n’est pas le tout de les ramasser, encore faut-il les casser. Figurez-vous qu’après pesée, il m’a fallu 10 noisettes pour obtenir 4 grammes… A ce rythme-là, il faut peu ou prou 312 noisettes pour ma recettes :0
Un temps indéterminé et une blessure à la main plus tard (oui, c’est la noisette qu’il faut briser, pas pincer la peau d’un coup sec entre deux bouts de métal – 2 fois pour que ce soit plus drôle), j’ai enfin pu passer les noisettes dans un mixeur, pour partiellement les réduire en poudre, et laisser des morceaux croquants.

Noisettes mixées

Pour le reste, j’ai tenté de suivre la recette à la lettre, si ce n’est la crème fleurette (Kézako? C’est de la crème liquide?) que j’ai remplacée par de la crème semi épaisse, parce que c’est ce que j’avais dans mon réfrigérateur. Faut que ce soit f.a.c.i.l.e. je vous dis.
Le résultat? Délicieux, je recommande. Après cuisson, je dirais qu’il faut le sachet de levure entier, et que les 15 minutes sont nécessaires.

cupcakes aux noisettes

Mérovée est en train de tester les agréments caloriques: crème chantilly, configure de figues etc.
Convaincue que j’en referai 🙂


09 septembre 2016

Moment de solitude

moment de solitude

07 août 2016

Avis livre: Contrats, glaçons… chez Sweety & Honey Addictions

Chronique sur Contrats, glaçons et coup de foudre

09 juillet 2016

Avis livre: Contrats, glaçons… chez Amazon

Commentaire sur Contrats, glaçons et coup de foudre

27 juin 2016

Augustus, le petit rhinolophe

Tous les ans la même interrogation, et ce petit pincement au cœur angoissé. Augustus va-t-il revenir?
Eh bien cette année encore, mon petit Augustus me fait à nouveau l’immense honneur de passer l’été chez moi! Je suis raide in love de lui, et je passerais volontiers beaucoup plus de temps à l’observer si je n’avais peur de trop le déranger.
Saviez-vous que les les chauves-souris mâles passent l’été tout seuls, alors que les femelles se regroupent en colonies? D’où le fait que j’ai donné un prénom masculin à Augustus.
Je suis toujours impressionnée de voir, ou plutôt de ne pas voir, à quel point son vol est rapide. Notre œil ne rafraîchit pas son image assez vite pour observer une chauve-souris en vol, nous ne voyons que le déplacement d’une sorte d’ombre saccadée.
Comme je n’ai bien sûr pu me retenir de le prendre en photo, je partage avec vous mon bel Augustus. 🙂

Petit rhinolophe - Photographie Esther Jules

24 juin 2016

Un ami déménage

Gilles Milo-Vacéri quitte la Provence et se rapproche de la capitale.
La fin d’une période, le début d’une autre.

Esther Jules et Gilles Milo-Vacéri, 2016
|2016- Esther Jules et Gilles Milo-Vacéri

01 juin 2016

Les Imaginales, c’était mieux que bien!

Je reviens de quatre jours passés au Festival des Imaginales, à Épinal dans les Vosges, et pour la 3e année je rentre enchantée, avec plein d’images et de mots qui tournent dans ma tête. je vais maintenant pouvoir les stocker et les étudier au calme 🙂
Les Imaginales, qu’est-ce que c’est? C’est un festival dédié aux mondes imaginaires, avec une Bulle du livre pleine à craquer d’auteurs et de romans qui font tous plus envie les uns que les autres. C’est aussi des stands de colifichets, des éditeurs et des auteurs indépendants, des lectures à voix haute, des expositions, des jeux et des conférences, du body-painting et des cosplayeurs, avec une touche que quidditch. Le tout se passe dans un parc splendide en bord de Moselle, avec des arbres de toute beauté.

Du soleil

Cette année, malgré ce qui était annoncé, la météo joueuse était de la partie avec un beau soleil et une chaleur à tomber le t-shirt (même si ceci dit certains auraient mieux fait de le garder 😉 ). Le parc, sous le soleil, est un écrin qui magnifie encore l’événement.
Côté sous, mieux vaut avoir prévu de casser le cochon en céramique, parce qu’entre l’hôtel, l’essence, les péages, et bien sûr les livres, car il serait idiot de ne pas profiter du moment pour se faire dédicacer quelques pépites, les billets de 50 partent encore plus vite que mon chien devant l’aspirateur. Je ne remercie d’ailleurs pas Cassandra O’Donnell qui a trop bien su faire l’article de son petit dernier alors que ma bourse de faisait déjà de gros yeux.
Car les Imaginales c’est surtout ça: une simplicité, une convivialité et une proximité avec les auteurs comme rarement, des échanges enrichissants, des rencontres. Évidemment, la générosité et la gentillesse des uns est aussi contrebalancée par quelques propos hallucinants, mais ne vous inquiétez pas, je saurai les remixer pour les caser dans un texte 😉

Pierre Bordage, père courage

Une mention spéciale à Pierre Bordage, qui a vécu le pire repas des Imaginales. Car c’est aussi cela Épinal, on peut y avoir des moments privilégiés avec des auteurs sous forme de petits-déjeuners, de déjeuners ou d’apéritifs. Perso je kiffe.D’ailleurs cette année un grand merci à Victor Dixen qui a plus que fait le job, et animé le repas avec beaucoup de générosité envers ses lectrices (Au féminin car oui, les hommes ne sont pas légion chez lui). J’en profite à propos de fangirls pour mourir de rire vite fait devant deux minettes en amour devant les yeux bleus d’Olivier Gay, en train de pouffer dans sa file d’attente « Tu te rends comptes, il est né en 79, c’est pas si vieux non? »
Revenons à ce malheureux Pierre Bordage: après être arrivé en retard au restaurant parce qu’on lui avait communiqué une mauvaise adresse, il est tombé sur une équipe en salle et en cuisine un peu dans le jus, puisque les plats nous ont pour finir été servis à 16h ! Courageux à la tâche, Pierre n’as pas démérité, et a sans jamais faiblir entretenu les convives trois heures durant. Bravo et merci 😉

Ah, et sinon, j’ai participé au speed-dating avec un éditeur, ou plutôt avec une éditrice qui était absente. Du coup, je l’ai trouvée fort sympathique, le courant est bien passé 😉
Voilà voilà, quand je vous dis que les Imaginales c’est fantastique! On en revient chargé de portraits et d’anecdotes. Pensez à nourrir le petit cochon pour vous aussi venir l’année prochaine 🙂


03 mai 2016

Avis livre: Amour, barmaid… chez Lunazione

Avis Sur Amour, barmaid et complications

25 avril 2016

Nice Fictions

Ce dimanche, je suis allée pour la journée à Nice Fictions, le « festival du sud de tous les imaginaires », dont c’était la 2e édition.
http://nice-fictions.fr/
Comme l’an dernier, j’y ai passé une super journée. Bon, certes, comme l’an dernier les organisateurs étaient trop justes en saucisses pour les hot-dogs, mais passons 😉

Des conférences

Pour les conférences, tout n’est pas toujours au cordeau comme dans des festivals qui ont plus de bouteille (la conférence annulée parce que le conférencier n’est pas revenu de sa pause repas lol, et celle dont le sujet a changé au dernier moment parce que …. euh…. parce que!) mais c’était quand même vachement bien! 🙂
J’ai donc suivi un lutin qui avait des problèmes de récolte de tomates dans sa quête d’une planète propre, tout en chassant des trolls et en composant avec des elfes m’enfoutistes et un roi égocentré (j’espère que le conférencier ne lira jamais cette phrase), me suis promenée sur Mars, et ai tout appris sur les kitsunés (ainsi que sur la femme japonaise, qui lorsqu’elle est parfaite, fait un enfant à son mari et se casse). Bref, c’était bien.
Monsieur Jules a profité de l’expo Star trek, et micro Jules a écouté des contes et regardé des gens se battre à l’épée. C’était super bien je vous dis!
Vous ratez vraiment un truc à ne pas aller sur les festivals?#?jedisçajedisrien??

Des dédicaces

Et bien entendu, j’ai saisi l’occasion pour bavarder avec des auteurs (non, pas de selfie sur ce coup-là 😉 )
J’en profite donc pour vous présenter trois ouvrages:
– Les pirates de l’escroc-griffes, de Jean-Sébastien Guillermou, fort sympathique auteur de l’écurie Bragelonne, et dont Monsieur Jules a beaucoup aimé la lecture. Jean-Sébastien est un auteur très ouvert et agréable, prêt à discuter avec des bavards, et avec le sourire! Après sa trilogie, il a un autre projet dans sa besace 😉
Le Mnemenol de Sébastien Tissandier, que Monsieur Jules s’est honteusement fait offrir et dédicacer sur mes deniers, prétextant avoir payé les péages autoroutiers. Argument fallacieux à mon sens, mais n’ergotons pas. Là encore nous avons longuement abusé du temps de l’auteur, qui semble l’avoir bien pris 😉
Un petit coucou également à Nathalie Bagadey et à son livre « Autoédition : à vous de jouer! » qui a l’air intéressant. En tout cas l’auteure l’est 😉
Voilà, bonne semaine à tous! Et pensez à faire un tour sur les festivals littéraires lorsqu’il y en a près de chez vous 🙂


23 avril 2016

Fête du livre à Hyères

Aujourd’hui je suis allée me promener dans les allées de la Fête du livre de Hyères.
C’est la 2e année que ce salon existe, impulsé par le gros libraire local, Charlemagne.
Je dois dire qu’ils ont encore une fois fait un boulot formidable, et la localisation sous la verrière du casino est splendide. Mon seul regret est que les contenus des conférences ne soient pas annoncés en amont, pour pouvoir organiser ma venue autour d’un horaire ou d’une thématique qui m’intéresse plus particulièrement.
Cette année, beaucoup de têtes d’affiches et de noms connus ont fait le déplacement.

Pour ma part je n’étais venue que pour Sire Cédric. (Ouais, je sais, ça fait un peu groupie annoncé ainsi.).
J’ai découvert ce garçon (si si, je peux me permettre, on a quasiment le même âge ^^) il y a quelques années aux Imaginales à Épinal. Pour comprendre, il faut savoir que pour l’occasion, pendant trois jours, j’assiste chaque jour à environ 7 conférences de 55 minutes chacune (oui, j’aime ça). Et j’ai donc pu l’écouter s’exprimer plusieurs fois lors de diverses interventions. Depuis, ayant trouvé son verbe intéressant, je suis son actu.
Mais… je n’ai toujours rien lu de lui !
Oui, je sais, j’abuse.
Donc aujourd’hui, enfin, je me suis bougée jusqu’à la Fête du livre à deux pas de chez moi ou presque, pour aller faire l’acquisition de mon premier (soyons optimiste) Sire Cédric.
Je confirme en tout cas, pour avoir échangé quelques mots avec lui, ma première impression qui le range dans la catégorie, certes réductrice, de « sympa », « intéressant ».
Je vous invite vous aussi à aller le découvrir 🙂

2016 - Sire Cedric en dédicace à Hyères
|Sire Cedric en dédicace à Hyères

10 mars 2016

Avis livre: Amour, barmaid… chez Ceres books world

Chronique Bahut, barmaid et complications 2016

02 mars 2016

Avis livre: Amour, barmaid… chez Paradise book

Avis 10/10 pour Bahut, barmaid et complications 2016

29 janvier 2016

Obstination

obstination